Jean-Pierre Guis, Conseiller d’arrondissement, Président d’Anticor

septembre 16, 2013 dans Mes soutiens, Pas affiché en homepage par Catherine Baratti-Elbaz

Je parle de Catherine Baratti-Elbaz, et quatre mots me viennent à l’esprit :

L’ubiquité : « présence en plusieurs lieux à la fois », selon le dictionnaire Robert. Oui, Catherine sait être en même temps à Picpus, à la Mairie, à la Porte de Vincennes et devant l’hôpital Saint-Antoine. J’exagère à peine ! Ce qui est sûr c’est que je la croise partout, dès que je mets le nez dehors dans le 12è. Elue à la voirie et aux transports, elle arpente notre bel arrondissement avec méthode, elle en connaît chaque ruelle, chaque potelet, chaque défaut dans l’enrobé d’un trottoir… Dire cela c’est une façon pour moi de rendre hommage à sa présence sur le terrain, partout, tout le temps et par tous les temps – mais il est vrai que quand on aime (son arrondissement), on ne compte pas (ses heures sur le terrain).

La compétence : pendant la précédente mandature j’étais, comme elle l’est à présent, maire-adjoint chargé de la voirie. Je connais donc le poids de cette charge, les innombrables dossiers à étudier, les rencontres avec les riverains, les réunions techniques qui se succèdent. Je peux en témoigner : Catherine travaille beaucoup, elle maîtrise et domine ses dossiers et ses chantiers, elle sait animer, trancher, et elle sait décider comme les démocrates décident – après avoir écouté tout le monde et pris tous les avis.

L’exemplarité : voilà un thème qui m’est cher. Un élu doit être exemplaire. A l’heure où il est de bon ton de critiquer et de dénigrer  les élus, à l’heure où la malhonnêteté, la voracité  et les manquements à l’éthique républicaine de certains élus discréditent l’ensemble de notre démocratie et nourrissent l’extrême-droite, nous n’avons plus le droit de nous tromper, nous devons choisir des personnes solides, fiables et droites, nous devons choisir des personnes dignes de nous représenter. Selon le dictionnaire de l’Académie Française, l’élu c’est celui qui est « nommé à  une dignité, à une fonction, à une place par la voie des suffrages. » Place, fonction, mais aussi dignité – ce même dictionnaire donne d’ailleurs l’exemple suivant : « élire le plus digne ». Catherine, dans tous ses engagements associatifs et militants, est un bel exemple de cette dignité. C’est pour cela aussi que nous devons en faire notre maire.

 

Jean Pierre GuisLa fraternité enfin : est-ce de ses origines méridionales que Catherine tire sa chaleur, son enthousiasme et sa gaité ? Malicieuse autant que passionnée, Catherine, cela saute aux yeux, aime les gens. Elle écoute, elle cherche le contact et la proximité, elle respecte ses interlocuteurs, sans démagogie, sans commisération ni dédain. Son attitude avec nous tous est franche et fraternelle. En cela également elle se montre digne de la lourde charge qui l’attend. Car on peut nourrir de grandes ambitions pour son arrondissement sans pour autant souffrir d’un narcissisme… protubérant.